Il y est aussi remarqué: "Pourtant, notre pays, par une sorte de pudeur étrange, détourne le regard et semble indifférent à ces questions qui violent les valeurs fondamentales de l’Union européenne. Nous aurions tort de ne pas tenter d’endiguer et de dénoncer les violences xénophobes et l’intolérance religieuse aux marches de l’Europe."
Parmi les propositions, outre la condamnation de cette situation, il est préconisé de "défendre les droits et les libertés de ces minorités", mais aussi de "de prendre en compte la situation des communautés chrétiennes et des autres communautés religieuses menacées, dans le cadre du dialogue politique avec les pays concernés" et "de prendre en compte, dans la coopération et l’aide au développement avec les pays tiers, le respect de la liberté religieuse, conformément aux conventions internationales".